On me mit également devant cette meute payée pour vous orienter
vers la route à suivre, la bonne parait-il, celle où l'on se sentira mourir
encore un peu plus.
Et niée dans son identité, sa différence, son essence même.
Ecartée, bafouée, sans rencontrer un seul regard qui vous reconnaisse
durant cette longue enfance qui n'en finit pas de passer.
Sans entendre une seule parole d'encouragement.
La parole qui tue.