La Bretagne sera la terre des expérimentations formelles les plus avant-gardistes, et les iles lui offriront l'illusion d'un paradis primitif et sauvage, loin de la civilisation.
Il a exposé aux cotés de Claude Monet, Pierre auguste Renoir, Camille Pissaro ou encore berthe Morisot, mais il s'intéresse moins aux vibrations colorées et aux effets atmosphériques qu'aux questions de forme et de structure. En témoignent ses recherches autour de la figure humaine, et ses baigneuses en particulier
A partir des années 1880 l'artiste se consacre principalement au pastel, et cette huile tardive a presque valeur d'exception. Au premier coup d'œil difficile d'ailleurs d'identifier la technique utilisée, tant les effets produits par la peinture rappelle ici le rendu vaporeux de ses œuvres graphiques.
Monet s'intéresse à la vie urbaine, et bien entendu, aux effets météorologiques. même s'ils sont parfaitement identifiables, les éléments du paysage se dissolvent, par la fragmentation de la touche, dans l'atmosphère brumeuse du paysage londonien.
paradoxalement ce tableau a quelque chose d'irréel, les chevreuils et le paysage n'étaient pas peints de la même manière. les animaux probablement réalisés en premier, semblaient avoir été plaqués sur un décor.
L'impression qui se dégage de la collection d'art français du musée d'ordrupgaard est celle d'un art séduisant, paisible, comme un hymne à la beauté, à l'harmonie et à la douceur.
En ces années 1860 où règne encore au salon officiel peintures historiques, nus allégoriques et paysages mythologiques, le peintre décrit la nature comme il la voit.
Cezanne a consacré près de deux cent œuvres, peinture, aquarelles et dessins à ce sujet, des baigneurs de 1877 aux ultimes grandes baigneuses de 1905.
Où qu'il soit Gauguin est à la fois inspiré par la beauté des paysages, et par les gens qu'il côtoie, artistes qui l'accompagnent ou autochtones.
Edgar Degas, qui multiplie les scènes de bain ou de toilette, excelle à saisir ses personnages dans l'intimité du quotidien