K. se rendit compte qu'il était devant la porte de sortie et que la jeune femme l'avait ouverte. Il eut le sentiment que toutes ses forces lui étaient revenues d'un coup ; pour avoir un avant-goût de la liberté, il descendit aussitôt une marche et pris congé de ses deux guides, qui se penchaient sur lui. Il répéta :
- Merci beaucoup.
Il leur serra la main à plusieurs reprises et ne cessa que quand il crut voir qu'habitués à l'air des bureaux, ils supportaient mal l'air relativement frais qui venait de l'escalier.