A ce que je me suis laissé dire, les réactions d’alors étaient pareilles à celles d’aujourd’hui à propos des migrants : si une partie des citoyens leur tendait la main, la majorité craignait d’être par eux dépossédée, elle préférait les laisser crever plutôt que de risquer les entendre mugir et les voir venir jusque dans nos bras, etc.