A peu près tout le monde arbore un air désagréable, et la plupart des gens marchent en regardant le trottoir. je suis consternée. Je n'arrive pas à imaginer qu'en douze ans, les êtres se soient autant dégradés. Je me demande si le phénomène concerne uniquement les Parisiens, ou si le reste de la France est devenu aussi morose. Les gens ont l'air d'être en guerre. (p.32)