Poser qu'il ne faut pas réveiller un enfant qui dort, c'est tomber dans le piège de tout principe (le propre du principe est qu'il cherche à avoir une valeur généralisante) et oublier la singularité de chacun. C'est enfermer l'enfant dans un présupposé sans lui laisser la possibilité de nous surprendre et d'expérimenter. N'est-ce pas lui pourtant qui doit nous guider ?