Fuyumi Soryo

Petit à petit les personnages prennent plus d'importance et l'histoire en gagne encore plus d'intérêt, vite la suite.

un veritable coup de coeur
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Un manga d'une grande érudition, qui nous fait découvrir une part complexe de l'Histoire de façon claire et brillante. De la documentation, du suspens, c'est une très grande réussite !

On accroche toujours autant à cette histoire et la fin de ce volume, dans lequel le personnage de Cesare prend une nouvelle dimension, nous donne encore plus envie de lire la suite !

Révélation sur l’identité des traîtres... Conspirations et enjeux politiques sont les maîtres-mots de cet excellent sixième tome. Fuyumi Soryô accomplit une œuvre de qualité, riche en rebondissements, éminemment instructive.
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Un manga un peu austère de prime abord mais qui se révèle au final fascinant! Un vrai manga historique, qui nous narre l'histoire de Cesar Borgia et qui nous transporte à l'époque de la Renaissance en Italie. Ce premier tome décrit l'arrivée d'un jeune Florentin, Angelo, à l'université de Pise, peu au fait du protocole. Il va se lier d'amitié avec Cesare Borgia et se retrouver plongé au coeur des intrigues et des luttes de pouvoir.

Cesare s’impose comme un manga historique de référence grâce à un très grand travail de documentation et à un scénario riche enrobé dans de très belles planches. Ce tome-ci est également accompagné de pages bonus très intéressantes pour mieux comprendre la série.
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Un manga qui séduit toujours par sa justesse historique et son intrigue finement élaborée.
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Riche en intrigues, le scénario a des sources où puiser des éléments. Et, en effet, l’histoire ne manque pas de ressorts.
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La plume appliquée et classique de l'auteur n'est pas le seul atout de ce manga qui se distingue aussi par son souci de vérité historique.
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Mêlant la petite à la grande histoire, le récit met en scène, outre un héros attachant par sa naïveté, un brillant jeune homme [...] Graphiquement, la reconstitution s’avère réussie et séduit par la finesse et l’expressivité du trait autant que par le soin apporté aux décors.
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L’action se met en place lentement, Fuyumi Soryo prenant le temps de poser le maximum d’assise historique au récit. Il en résulte un rendu moins clinquant que dans les séries télé, mais sur la durée un contenu probablement plus intéressant.
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Nourrie par les idées et les questions qui agitaient les hommes de cette époque, cette fresque complexe, entamée depuis huit ans au Japon, donne surtout à réfléchir sur les notions d'individu, de pouvoir et de famille. Remarquable.
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Ces deux premiers volumes sont une véritable réussite et relèvent dignement le pari du projet. Chaque chapitre est prenant, tout en nous apportant de nombreuses informations historiques. Le dessin est minutieux, certes un peu figé, mais fort bien adapté à l’époque et au propos.
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La papauté est en ce moment au centre de toutes les attentions. Une nouvelle série proposée chez Ki-Oon colle parfaitement à l’intérêt que suscite l’actualité vaticane.
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Cette fois, les personnages étant mieux définis, on suit avec davantage d’intérêt (si c’était possible) les tentatives de Mine de contrer Isaac qui rend coup pour coup, au point qu’elle se voit contrainte d’user d’expédients qu’elle réprouvait. La confrontation, comme toujours, est surtout axée sur le domaine psychologique, avec en point d’orgue une magnifique « rencontre » sur le plan astral (ou psychique), entre Akiba et le jeune démon, l’occasion d’admirer quelques cases au graphisme travaillé, jouant sur les effets de miroir et les gros plans symboliques. L’occasion également de se rendre compte de la malignité de leur ennemi, rendue plus dérangeante encore par son aspect extérieur de gamin angélique. On pourra reprocher une tendance à tirer un peu trop sur la longueur (la manipulation de Kimiko), en espérant que le volume 4 n’accouche pas d’une souris, tant les enjeux se sont intensifiés. En revanche, le rapprochement patent entre Mine et Akiba est remarquablement subtil : sur ce plan, la lenteur de l’évolution de leurs rapports est bénéfique.
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