Mes doigts parcourent enfin ses abdominaux d’enfer sous son T-shirt. Sa peau est chaude, douce, et divinement ferme. Je prends mon courage à deux mains, puis je l’entraîne vers ma chambre sans cesser de le dévorer. Arrivée au pied de mon lit, je retire son haut. Il relâche mes lèvres un instant afin de s’en débarrasser avec précipitation. Aussitôt le T-shirt au sol, il reprend possession de ma bouche comme un affamé. Oli me soulève, enroule mes jambes autour de sa taille, puis me dépose sur le matelas avant de s’allonger sur moi.
Son corps me manque, son parfum me manque, tout en elle me manque. Elle sanglote et serre mon T-shirt avec force. De l’avoir dans mes bras me submerge de bonheur, même si je sais qu’elle m’en veut.
Je l’aime, je vais toujours l’aimer, mais j’en ai assez. Je renonce finalement à elle, une chose dont je me pensais incapable.