Enfin la science ne s'occupe que du nécessaire. Or, en laissant de côté le beau de la nature, elle abandonne par là même le nécessaire. Car le monde de celui de la nature est celui de la régularité et de la nécessité; celui de l'esprit, au contraire, et surtout de l'imagination est le règne de l'arbritaire et de l'irrégularité.