Le cirque des une institution à l'agonie, pensai-je,
un petit rire mourant dans la gorge d'un monde rongeant ses propres entrailles.
Les mômes ne se précipitaient plus pour rejoindre le cirque ;
maintenant, ils se droguaient
ou retournaient à la nature dans des bus peinturlurés,
ou encore devenaient des criminels.
Pas tous, certainement moins que dans les années 60,
mais suffisamment encore pour que cela fasse la différence.
Il y avait trop de gens mécontents
dans la grisaille au-dehors du chapiteau,
des hommes et des femmes sans billet d'entrée et sans talent.