Ceux qui auront lu les pages de La Grande Peur sur la Commune savent qu’en parlant ainsi je reste fidèle à moi-même. Je connais le parti clérical. Je sais à quel point il manque de cœur et d’honneur. Je ne l’ai jamais confondu avec l’Église de Dieu. L’Église a la garde du pauvre, et le parti clérical n’a jamais été que le sournois intermédiaire du mauvais riche, l’agent plus ou moins conscient, mais indispensable, de toutes les simonies.