Il n'y a rien de plus offensant pour l'âme ni de plus douloureux que d'entendre délirer et souffrir ces hommes blessés au cerveau, ou encore de voir un adolescent de vingt ans se souiller comme un vieillard. Que de fois, me consumant devant ces spectacles honteux, j'ai souhaité que l'on admît à les contempler ceux qui tiennent dans leurs mains les destinées des peuples. Mais laissons cela, hélas! On ne prêtera pas d'imagination à ceux qui n'en ont guère.