Georges Filippi

En travaillant sur « l’image » projetée à l’extérieur par le tissu considéré, le recours à la résonance par interposition de filtre sur le trajet des émissions permet donc d’étudier de façon détaillée les états normaux ou perturbés de ce qui se passe dans une source se trouvant au cœur de la matière. C’est un peu comme si l’on faisait une radio ou une échographie, mais en utilisant le procédé exactement inverse : au lieu d’envoyer des ondes (rayons X ou ultra-sons) dans la matière pour la visualiser, on capte par physiorésonance les propres signaux ténus.