Nationalité : France
Né(e) à : Sermages (Nièvre) , le 9 juillet 1922
Mort(e) à : Paris , le 15 octobre 2010
Né(e) à : Sermages (Nièvre) , le 9 juillet 1922
Mort(e) à : Paris , le 15 octobre 2010
Biographie :
Georges Mathé est né le 9 juillet 1922 à Sermages (Nièvre). Il a mené ses études secondaires au lycée Banville à Moulins et ses études supérieures à la faculté de médecine de Paris. De 1941 à 1944, il fait partie des Forces françaises de l'intérieur.
Médecin cancérologue et scientifique de renom, Georges Mathé a consacré sa carrière à développer des approches thérapeutiques innovantes en hémato-cancérologie. Il est notamment célèbre pour ses découvertes dans l'immunothérapie appliquée à la lutte contre le cancer, en particulier contre la leucémie.
Georges Mathé est décédé à Paris le 15 octobre 2010.
Ses ouvrages grand public :
- Gaston-Mathé C. La santé est-elle au-dessus de nos moyens ? Plon, Paris, 1970.
- Entretien avec José Hann. Le temps d'y penser, Stock, Paris, 1974.
- Dossier cancer. Stock, Paris, 1977.
- Le sida : sceaux, sexe, science. La coutellerie, Paris, 1994.
- L'Homme qui voulait être guéri. Robert Laffont, Paris, 1985.
- Le sexe des dieux et des diables. Anthropos, Paris, 1992.
+ Voir plusGeorges Mathé est né le 9 juillet 1922 à Sermages (Nièvre). Il a mené ses études secondaires au lycée Banville à Moulins et ses études supérieures à la faculté de médecine de Paris. De 1941 à 1944, il fait partie des Forces françaises de l'intérieur.
Médecin cancérologue et scientifique de renom, Georges Mathé a consacré sa carrière à développer des approches thérapeutiques innovantes en hémato-cancérologie. Il est notamment célèbre pour ses découvertes dans l'immunothérapie appliquée à la lutte contre le cancer, en particulier contre la leucémie.
Georges Mathé est décédé à Paris le 15 octobre 2010.
Ses ouvrages grand public :
- Gaston-Mathé C. La santé est-elle au-dessus de nos moyens ? Plon, Paris, 1970.
- Entretien avec José Hann. Le temps d'y penser, Stock, Paris, 1974.
- Dossier cancer. Stock, Paris, 1977.
- Le sida : sceaux, sexe, science. La coutellerie, Paris, 1994.
- L'Homme qui voulait être guéri. Robert Laffont, Paris, 1985.
- Le sexe des dieux et des diables. Anthropos, Paris, 1992.
Source : https://histoire.inserm.fr/les-femmes-et-les-hommes/georges-mathe
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PRESENTATION DES MEMBRES DE L'UNR CANDIDATS AUX ELECTIONS AU PALAIS DES SPORTS
MEETING de l'UNR au PALAIS DES SPORTS, à PARIS, un mois avant les ELECTIONS LEGISLATIVES des 5 et 12 Mars 1967. - VG les sigles et panneaux - le podium. - (GERBAUD [le journaliste, et député UDR, FRANCOIS GERBAUD ?] au milieu des rangs des candidats sur le podium). - vifs enthousiasmes dans la salle. - PA le Professeur GEORGES MATHE au micro - pourquoi est-il au parti de la...
Citations et extraits (7)
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Le premier rapport sur les tumeurs malignes professionnelles fut celui de Ramazzini qui, dans son Morbis artificum diatriba, publié en 1713, attira l'attention sur la haute fréquence du cancer du sein chez les nonnes, cancer qu'il attribua déjà avec raison au célibat, décrivant ainsi les premiers cas de tumeurs malignes favorisées par un comportement sociologique particulier.
Une des conditions de survie des organismes pluricellulaires réside donc dans la production de cellules de renouvellement celles qui meurent, et cette production de cellules obéit à un certain - ordre -. Or, toutes les productions, mêmes les plus parfaitement programmées, sont menacées d'accidents. Un accident survenant à une cellule qui se divise peut aboutir à la production, par celle-ci, d'une descendance qui n'obéit plus à l'ordre et engendre le désordre. Ainsi en est-il de la naissance d'un cancer, tissu sans loi, qui grossit plus ou moins rapidement selon le rythme de la division et selon les durées de survie des cellules - sauvages - qui le constituent.
Il n'est pas de spécialiste de la science biomédicale qui n'ait examiné des cellules cancéreuses.
Il n'est pas de spécialiste de la science biomédicale qui n'ait examiné des cellules cancéreuses.
Mais si des cancers ont toujours existé et existent encore qui peuvent etre assurément attribués à l'environnement naturel, il est vrai que le nombre de cancers liés à des facteurs socio-écologiques n'a cessé d'augmenter depuis que les hommes se sont lancés, irresponsables et inconscients qu'ils sont, dans la course à un - développement - incontrôlé. Nos chimistes nous font vivre immergés dans plus de 500.000 substances, dont la plupart sont inutiles, mais dont un bon millier au moins sont capables d'engendrer des cancers.
L'invasion est bien la propriété la plus commune à tous les cancers, visible dès le tout début de l'évolution au microscope, évidente au seul examen clinique du médecin lorsque la tumeur atteint une certaine dimension. Cette invasion est déterminé par la modalité de croissance du cancer et par les routes anatomiques qui s'offrent à l'évasion des cellules de la tumeur selon la localisation de celle-ci.
L'invasion est bien la propriété la plus commune à tous les cancers, visibles dès le tout début de l'évolution au microscope, évidente au seuil examen clinique du médecin lorsque la tumeur atteint une certaine dimension.
Qu'ils soient encouragés dans leur effort plus que jamais indispensable.
La longueur de l'A.D.N. du corps humain tout entier dépasse plusieurs milliers de kilomètres.
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