Comme toute rébellion, ce livre exprime un espoir et un credo.
Le credo est simple : une civilisation ne peut impunément répudier la culture (disons pour le moment, par commodité, la culture « humaniste ») qui constitue son héritage, sans mettre en péril à terme plus ou moins court les conquêtes sociales, scientifiques, techniques et économiques sur lesquelles elle se fonde.
Les barbares ne sont jamais aux portes, ils sont à l’intérieur.
(pages 9)