Les journaux écrivent ce qui leur chante ou ce qu'ils peuvent. On est même pas certains de ce que racontent les canards clandestins parce que tout le monde exagère dans un sens ou dans un autre. Tout le monde veut tirer la couverture à soi. Alors : à qui se fier ? Chacun y va de son petit discours. C'est le règne du n'importe quoi et les bobards vont bon train. (p. 215)