Nationalité : France
Né(e) à : Marseille , le 18/03/1944
Né(e) à : Marseille , le 18/03/1944
Biographie :
Gérard Mottet est un penseur, chercheur en éducation et poète.
Passionné par l'écriture poétique, il compose ses premiers poèmes dès l'âge de 14 ans, et ce jusqu'en 1970. Il renoue avec la poésie 45 ans plus tard, et publie:
- Petite suite pour ombre et lumière, Encres Vives, mars 2016, 16 p. (2e édition, janvier 2018)
- Murmures de l’absence (Préface de Michel Passelergue), Éditions Tensing, avril 2017, 108 p. (Prix Marie Noël 2018) (2e édition, L’Harmattan, 2018)
- Empreintes & résonances (Postface de Michel Cosem), Les Presses Littéraires, septembre 2017, 56 p. (Prix Y & S. Blanchard, 2017)
- Par les chemins de vie (Préface de Guy Allix), Éditions Unicité, octobre 2017, 114 p.
- Dans l’ombre des étoiles, Encres Vives, avril 2018.
- Concerts de l’Un et du Multiple (Préface de Martine Morillon-Carreau), Éditions Unicité, septembre 2018.
- Ô combien cela te ressemble, Éditions Unicité, janvier 2019, 106 p. (avec des tableaux de Chantal Lacaille)
- Dans les plis du silence, Éditions Unicité, mai 2019.
- À quoi rêvent les arbres, Encres Vives, octobre 2019.
- Ce bleu désir d’immensité, Éditions Unicité, mars 2020, 178 p. (avec des photographies de Yannik Snoeckx)
- Si seulement l’envol (avec Jacqueline Persini), Éditions Unicité, mars 2021, 116 p. (Encres de Marc Bergère)
*Compléments biographiques : https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Mottet
http://gerardmottet.fr/
+ Voir plusGérard Mottet est un penseur, chercheur en éducation et poète.
Passionné par l'écriture poétique, il compose ses premiers poèmes dès l'âge de 14 ans, et ce jusqu'en 1970. Il renoue avec la poésie 45 ans plus tard, et publie:
- Petite suite pour ombre et lumière, Encres Vives, mars 2016, 16 p. (2e édition, janvier 2018)
- Murmures de l’absence (Préface de Michel Passelergue), Éditions Tensing, avril 2017, 108 p. (Prix Marie Noël 2018) (2e édition, L’Harmattan, 2018)
- Empreintes & résonances (Postface de Michel Cosem), Les Presses Littéraires, septembre 2017, 56 p. (Prix Y & S. Blanchard, 2017)
- Par les chemins de vie (Préface de Guy Allix), Éditions Unicité, octobre 2017, 114 p.
- Dans l’ombre des étoiles, Encres Vives, avril 2018.
- Concerts de l’Un et du Multiple (Préface de Martine Morillon-Carreau), Éditions Unicité, septembre 2018.
- Ô combien cela te ressemble, Éditions Unicité, janvier 2019, 106 p. (avec des tableaux de Chantal Lacaille)
- Dans les plis du silence, Éditions Unicité, mai 2019.
- À quoi rêvent les arbres, Encres Vives, octobre 2019.
- Ce bleu désir d’immensité, Éditions Unicité, mars 2020, 178 p. (avec des photographies de Yannik Snoeckx)
- Si seulement l’envol (avec Jacqueline Persini), Éditions Unicité, mars 2021, 116 p. (Encres de Marc Bergère)
*Compléments biographiques : https://fr.wikipedia.org/wiki/G%C3%A9rard_Mottet
http://gerardmottet.fr/
Source : http://gerardmottet.fr/
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Citations et extraits (3)
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Au plus près de la nuit furtif passe le vent des souvenirs.
Lignes de partage
Je ne sais qu'elle frontière nous traverse
quelque part en nous mystérieuse
comme la barre bleue des lointains
au seuil invisible de nos rêves
comme l'écume de la dernière vague
au flot montant de nos désirs.
Est-ce entre nous frontière
que cette ligne courbe du soleil
qui monte et qui descend
ou ce vol brusque de l'oiseau qui déchire le ciel
est-ce frontière que cette arche lumineuse
où s'exalte le chant de la pluie.
Ensemble nous cheminons sur nos lignes de crête
entre nos versants d'ombre et de lumière
par sentiers caillouteux à travers champs et forêts
par chemins de halage allant d'écluse en écluse
sans jamais passer pourtant ces lignes de partage
où se croisent nos solitudes.
(" Murmures de l'absence")
Je ne sais qu'elle frontière nous traverse
quelque part en nous mystérieuse
comme la barre bleue des lointains
au seuil invisible de nos rêves
comme l'écume de la dernière vague
au flot montant de nos désirs.
Est-ce entre nous frontière
que cette ligne courbe du soleil
qui monte et qui descend
ou ce vol brusque de l'oiseau qui déchire le ciel
est-ce frontière que cette arche lumineuse
où s'exalte le chant de la pluie.
Ensemble nous cheminons sur nos lignes de crête
entre nos versants d'ombre et de lumière
par sentiers caillouteux à travers champs et forêts
par chemins de halage allant d'écluse en écluse
sans jamais passer pourtant ces lignes de partage
où se croisent nos solitudes.
(" Murmures de l'absence")
En bref
Les pierres nous regardent passer
comme nous voyons les paillons
à peine nés déjà disparaître
le temps de quelques battements d’ailes
vertige des fractales du temps
échelonnement du devenir
à l’infini...
et voici qu’à l’heure où je vous parle
un papillon vient de se poser
sur cette pierre qui me regarde
aura-t-il le temps de butiner
les fleurs impatientes qui l’attendent ?
et nous ?
aurons-nous le temps de vivre ?
Les pierres nous regardent passer
comme nous voyons les paillons
à peine nés déjà disparaître
le temps de quelques battements d’ailes
vertige des fractales du temps
échelonnement du devenir
à l’infini...
et voici qu’à l’heure où je vous parle
un papillon vient de se poser
sur cette pierre qui me regarde
aura-t-il le temps de butiner
les fleurs impatientes qui l’attendent ?
et nous ?
aurons-nous le temps de vivre ?
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