(...)ma mère. C’est un petit bout de bonne femme aussi effacée et discrète que forte et inusable. À aucun moment je ne l’ai vue craquer, pleurer, et au grand jamais élever la voix ou lever la main devant les frasques de mon pauvre père. C’est une femme comme beaucoup d’autres de son époque, qui aura sacrifié entièrement sa vie pour ses enfants et son mari.