AccueilMes livresAjouter des livres
Découvrir
LivresAuteursLecteursCritiquesCitationsListesQuizGroupesQuestionsPrix BabelioRencontresLe Carnet

3.5/5 (sur 2 notes)

Biographie :

Né en 1957, Gilles Garidel est journaliste, éditeur, et écrivain. Ou auteur. Ou rewriteur. Ou un peu tout cela à la fois.
Il a longtemps travaillé dans une maison d'édition spécialisée dans l'histoire maritime, puis chez LME, où il était éditeur et a assuré un certain nombre de traductions de livres anglais et américains. Il écrit également sur les régions, l'histoire, le Big Bang, et propose ses premiers roman, une "autopasbiographie" où tout est vrai, ou presque, mais pas à sa place ni au bon moment, et "une belle histoire d'amour"...

Ajouter des informations
Bibliographie de Gilles Garidel   (6)Voir plus

étiquettes

Citations et extraits (8) Ajouter une citation
Que ce soit comme profession ou distraction, la photographie fournit une bonne raison de posséder un appareil photo et le matériel de développement. Vous pouvez posséder tout l’attirail pour microfilmer des documents. Vous pouvez même réaliser des micro-points avec un appareil ordinaire et une pellicule noir-et-blanc de chez le photographe du coin. Voici comment faire. En utilisant une pellicule noir-et-blanc au grain fin, photographiez le document avec un objectif normal. Développez normalement et séchez le négatif, puis prenez un morceau de carton (le dos d’un bloc fait l’affaire), découpez un morceau de la taille du négatif et collez ce dernier derrière l’ouverture. Dressez le tout sur une table avec une ampoule électrique derrière. De l’autre côté, placez l’appareil photo à 1,20 mètre et réglez sur le négatif éclairé par derrière. Un trépied serait utile, mais un dictionnaire posé sur la table soulèvera suffisamment l’appareil photo si le négatif a été placé bas. Maintenant, prenez la photo de votre négatif de cette distance. Développez le négatif. Ce petit point sur le négatif est le micro-point de la lettre originale. Placez-le sous un microscope pour le lire. C’est probablement aussi bon que ce que faisait Cohen/Kroger en Angleterre.
Commenter  J’apprécie          00
Le journalisme, bien sûr, est parfait. Voyager et poser des questions est l’essence même du journalisme, ce qui constitue ainsi une couverture très crédible. Malheureusement, toutes les officines de renseignement savent cela et soupçonnent les « journalistes » de l’autre camp. Dans les années 1930, Kim Philby s’est fait passer pour journaliste pendant la guerre d’Espagne, tout en informant les Soviétiques. Lorsqu’il fut « débarqué » du MI6 au début des années 1950, les gens du Renseignement lui trouvèrent un emploi de journaliste pour couvrir le Moyen-Orient, tout en rendant quelques menus services d’espionnage. Il travaillait toujours pour les Soviétiques et finit par s’enfuir à Moscou.
Commenter  J’apprécie          00
Hitler ne passait pas bien auprès de la plupart de ses généraux, des conservateurs avec un « von » devant leur nom. Il ne faisait pas partie de leur classe et il menaçait, non, il promettait de bouleverser la structure sociale de l’Allemagne en ouvrant la société. Peut-on s’étonner que le maréchal von Runstedt appelait Hitler avec dérision le « caporal de Bohême » ? Comment amener ces généraux aristocrates à faire ce qu’on leur disait, jusqu’à ce que les Jeunesses Hitlériennes aient grandi pour les remplacer, c’était la question qui revenait à l’esprit du Führer. Sa réponse : les acheter.
Commenter  J’apprécie          00
Un espion potentiel ou un transfuge est « agité » par un organisme de renseignement devant un service de renseignement hostile, à la manière d’un ver de terre devant un poisson. L’espion ou le transfuge prétendu mettra en place une feinte compliquée pour fournir de la désinformation à l’autre partie. Les organisations de renseignement sont très portées sur cette manœuvre et les annales de l’espionnage regorgent d’histoires très tristes de traîtres, évidemment sincères, avec des documents secrets bien sûr authentiques, refoulés par des ambassades hélas peu clairvoyantes…
Commenter  J’apprécie          00
Le FBI a créé un groupe du Ku Klux Klan lors de l’apogée de ses combines Cointelpro pour déstabiliser divers groupes qu’il considérait comme subversifs. Dans une certaine ville du Sud, le Bureau établit une organisation rivale du Klan, pour drainer des forces des KKK unis d’Amérique. En utilisant des comparses qui ignoraient tout, le FBI put faire croître son organisation fictive à plus de 200 membres.
Commenter  J’apprécie          00
L’ère moderne de l’espionnage - avec les actions clandestines, le déchiffrement des codes, les démentis, les assassinats, les amours organisées, la propagande et l’organisation des coups tordus, souvent pittoresques -, commence juste avant la Première Guerre mondiale avec la création par les Britanniques de deux organisations, alors très secrètes.
Commenter  J’apprécie          00
Un cas d’utilisation d’hommes comme appâts sexuels pour soutirer des informations est celle d’homosexuels. Les meilleurs exemples sont britanniques, avec Guy Burgess, complètement dépravé, en tête. À la fin des années 1930, Burgess avait une liaison avec un certain Edouard Pfeiffer, un ami proche du Premier Ministre français, Edouard Daladier.
Commenter  J’apprécie          00
Le monde des espions et de l’espionnage a une longue et intéressante histoire, même si elle n’est pas, et c’est logique, très connue. Depuis la Bible jusqu’aux journaux d’aujourd’hui, chaque âge a eu ses triomphes et ses échecs en matière d’espionnage.
Commenter  J’apprécie          00

Acheter les livres de cet auteur sur
Fnac
Amazon
Decitre
Cultura
Rakuten

Listes avec des livres de cet auteur

Stasi

Pecosa
21 livres

Lecteurs de Gilles Garidel (5)Voir plus

Quiz Voir plus

Quiz sur l´Etranger par Albert Camus

L´Etranger s´ouvre sur cet incipit célèbre : "Aujourd´hui maman est morte...

Et je n´ai pas versé de larmes
Un testament sans héritage
Tant pis
Ou peut-être hier je ne sais pas

9 questions
4781 lecteurs ont répondu
Thème : L'étranger de Albert CamusCréer un quiz sur cet auteur
¤¤

{* *}