Cette atmosphère de fêtes et de plaisirs, avec ses parades, ses langueurs et ses désillusions, telle serait la toile de fond de mes scènes de genre. Moments pittoresques de l’existence en société, impromptus de villégiatures, spectacles de rue, dans un mélange de maintien aristocratique et de liesse populaire à la fois : ma vraie raison de peindre serait cette douceur de vivre, cette commedia dell’arte en vrai. Avant qu’elle ne s’enfuie et disparaisse dans les tourments de l’histoire.