Ce que je veux, c’est une peinture douce-amère, douce-violente. Une ivresse figée. Arriver à mettre le « réel » au défi ; le remplacer par quelque chose de plus vrai. Faire en sorte que l’univers de la conscience supplante le désordre distrayant du quotidien. Trouver l’image qui en supprime mille.