Gisèle Cavali

3,5 étoiles pour ce roman « policier » destiné aux ados. Plutôt simple dans l’écriture, il fait sourire et l’intrigue est plutôt sympa! Ça change des histoires d’amour que l’on rencontre souvent dans les livres ados. J’aime bien mais le début a été compliqué, dur de rentrer dans l’histoire comme ça

C'est l'histoire d'une fille qui s'appelle Carole. Ces parents sont partis en week-end . Elle en profite pour s'amuser et part donc chez son amie.

Elle s’arrête au centre commercial où elle trouve une petite fille.

Elles sont suivies par une camionnette bleue, mais pourquoi?

Ce livre est génial.Il fait un peu peur et il est intrigant. Mon personne préféré

est Alicia,la petite fille,car elle est un peu têtue, comme moi !

Deux vies d'enfants qui se télescopent : Carole, qui passe son premier week-end toute seule, et Alicia, qui vient d'échapper aux kidnappeur qui détiennent encore sa maman. Carole va vite réaliser qu'elle n'est pas dans un roman policier, où la pré-ado peut devenir l'héroïne victorieuse si elle est suffisamment débrouillarde : faire face à des adultes malveillants et déterminés dans la vraie vie, c'est une autre paire de manches !

Un petit roman bien sympathique, où j'ai retrouvé l'empreinte de mon auteure française contemporaine préférée. Je le conseille aux 7/12 ans.

Dans La voie des chimères, Théodora poursuit sa lutte contre l’Armée de l’Obscur. Mais cette fois-ci elle n’est plus seule puisque physiquement accompagnée d’Owen, l’un de ses colistiers dans le jeu Barbarian Killers.

Jeune aborigène australien adopté par une famille blanche, Owen se veut même le personnage principal du roman. Brigitte AUBERT et Gisèle CAVALI évoquent donc la condition de ce peuple dont on a voulu arracher les racines, avant de se rétracter seulement récemment. Mais le mal est fait et Owen est en quête de son identité. Il va trouver la Voie grâce à sa position par rapport aux Barbarians.

A l’instar de la culture celte dans Le règne de la barbarie, les deux auteures s’intéressent abondamment à la culture aborigène, notamment à leurs rites chamaniques. Elles le font d’ailleurs très sérieusement, ce qui leur fait prendre le contrepied d’une intrigue convenue.

Quant à la forme que prend le roman, elle est identique à celle adoptée dans le précédent tome. Il s’agit d’un style narratif sur un rythme soutenu qui devrait convenir aux lecteurs les plus jeunes. Les autres, plus âgés, ne devraient pas être insensibles aux thèmes développés, d’autant qu’ils ne sont pas forcément bien connus des lecteurs français.

J’avais lu ce roman en première secondaire, ça date ! J’en gardais un bon souvenir donc je l’ai relu. J’ai été beaucoup moins emballée qu’à l’époque, j’avais retenu pas mal de choses, mais j’ai quand même été prise par le récit.



Imaginez-vous témoin d’un meurtre, et vous retrouvant à l’hôpital avec des yeux bandés ! C’est tout sauf confortable… Très vite, Gaétan va repérer des mouvements suspects dans sa chambre, la nuit. Plusieurs personnes viennent lui parler, dont des imposteurs. Gaétan est effrayé, mais les adultes ne le croient pas. Ils sont tous persuadés que Gaétan blague ou qu’il se fait des films. Voilà ce qui arrive quand on regarde des films qui font peur et qu’on a trop d’imagination !



Au fil du récit, on suit Gaétan, avec ses doutes et ses craintes. Je pense que les jeunes adolescents pourraient être pris par l’histoire, comme je l’ai été à l’époque. Avec un regard adulte, ce roman perd de son intérêt, on remarque vite les supercheries.
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Je n'ai pas tout aimé , seulement 4 nouvelles sur les 12 !

Ce roman policier pour jeunes adolescents ne m'a pas convaincu, la trame du récit est trop "fabriqué", les héros trop peu ordinaires pour être crédibles à mon goût.

Ce second tome était bien meilleur que le premier pour plusieurs raisons.

Tout d'abord, l'action est beaucoup plus importante dans ce tome on nous a expliqué l'univers dans le premier tome donc plus besoin de rester dans les explications.

Ensuite, on part de l'univers du jeu en ligne pour rester dans la réalité car si l'auteur les faisaient sortir du jeu juste vers la fin saurait été trop répétitif.

Les actions et les réactions des personnages ont gagné en maturité et elles sont plus plausibles.

En plus, j'ai trouvé que l'idée d'un passage ressemblait un peu à la série grimm sur un épisode sur les indiens avec la réincarnation et le changement de théa en une créature divine. L'idée de montrer une autre culture que ne l'on ne trouve pas forcément souvent dans les livres est intéressante car elle permet de changer des standards habituels.

Également, si dans le premier tome on pouvait trouver la série similaire à d'autres la se distinguent des autres grâce à ce changement de directives.

Quant aux personnages de nouveaux font leurs apparitions que j'ai apprécié owen et bruce qui vivent à l'ancienne et en fonction de leurs cultures mais ils sont très intelligents et trouvent des solutions à tous les problèmes.

Après pour les cotés négatifs cela reste un peu jeunesse tout comme je l'ai dis dans la chronique du tome 1 même si celui-ci fait plus adulte que le premier.

Ce n'est pas non plus quelque chose d’extrêmement novateur ni de captivant dont on ne lâche pas le roman pour savoir la suite pour autant il est pas mal mais ce n'est pas un livre dont je me souviendrai très longtemps l'avoir lu.

Ce livre est plutôt pour un public adolescent voir pré ados j'aurais lu ce livre plus jeune je l'aurais adoré mais là c'est plus de mon age.

Après j'ai lu d'autres livres avec ce thème qui ont été beaucoup moins intéressant donc ce n'est pas non plus ce qui a de pire on le lit mais c'était pour ma part avec lenteur.

Pour ce livre les fans de jeux en ligne peuvent aimer et j'aime bien l'idée mais ça reste la cible d'age qui cause problème pour moi mais je n'ai pas détesté sans plus.

Après c'est vrai que l'on retrouve certains clichés sont les gamers ados la fille qui s'est renfermée sur elle même et ne pense qu'à son jeu. Toute cette idée correspond à la première partie du roman après on arrive dans l'histoire qui est bien trouvé et les créatures inventés sont vraiment sympas.

Mais l'auteur traite aussi d'autres problèmes liés à l’adolescence de façon subtile sans nous submerger d'informations ni dégradé le rythme de l'intrigue.

Concernant l'univers de ce roman on ne fait pas dans l'originalité des enfants qui doivent sauve le monde c'est un basique mais je ne vois vraiment pas comment l'auteur aurait pu nous surprendre avec les jeux en ligne.

J'ai constaté que l'idée principale ressemblait à la cité des ombres mais que celle-ci était plus intéressante que l'autre roman auxquels tout s'enchainait trop vite. Dans celui-ci on nous explique bien tous les détails de ce s'est passé pour nous amener à l'action et au cheminement de l'histoire.

Un autre problème que j'ai relevé c'est tout est trop facile il arrive à vaincre les barbarians trop facilement alors qu'au long du roman on les décrit comme effroyable et en un seul affrontement il gagne du premier coup sans vraiment chercher c'est dommage.

Finalement si vous êtes dans une tranche d'age entre 12-14 ans et fans de jeux vidéos il peut vous plaire mais pour les autres cela restera trop enfantin pour vous.

Un livre policier pour jeunes adolescents, cousu de fil blanc. L'intrigue est tellement irréaliste qu'elle en est risible.

Se faire peur à 8 ou 9 ans, avec un titre terrible et une histoire d'aventures au cimetière, c'est fait !

Théodora est une adolescente parisienne qui vit seule avec son père depuis que sa mère est décédée tragiquement. Perturbée, elle a coupé les ponts avec ses amis et obtient des résultats médiocres au collège, au point d’avoir redoublé sa quatrième.

Son échappatoire c’est l’Internet, et plus précisément un jeu en ligne, Barbarian Killers, dans lequel elle excelle, au point d’être classée parmi les cinq meilleurs joueurs au monde. Elle y incarne Fennec des Sables qui, en collaboration avec les quatre autres joueurs ayant atteint le plus haut niveau du jeu, doit combattre l’Armée de l’Obscur. Et la passion de Théo est telle qu’elle ne sait plus très bien où se situe la frontière entre le jeu et la réalité. Il lui arrive ainsi d’être "transférée" physiquement dans le jeu ; il lui arrive aussi d’être le témoin d’accidents dans la vie de tous les jours, et dont les Barbarians semblent être à l’origine. Mais le véritable problème est qu’elle est la seule à voir ces Barbarians, et qu’elle est contrainte de s’interroger sur sa santé mentale en même temps que sur l’existence d’un univers parallèle.

Ses discussions avec ses colistiers sur le chat réservé du jeu la convainquent que deux mondes parallèles coexistent bel et bien. Dès lors les interrogations se multiplient dans l’esprit de Théo, parmi lesquelles la façon dont s’opère le passage d’un univers et l’autre, et le rôle qu’elle est appelée à jouer dans l’invasion manifeste du monde réel par les Barbarians.

Une thématique de fond banale dans une collection dédiée à la jeunesse n’est pas très incitatif pour le lecteur potentiel en quête d’une Fantasy riche à défaut d’être novatrice. De fait, Le règne de la barbarie est avant tout un roman pour la jeunesse, son style narratif, et parfois naïf, en témoignant. De plus les rebondissements et révélations se succèdent à un rythme soutenu, ponctués ici et là de traits d’humours auxquels le public cible ne devrait pas être insensible.

Mais Le règne de la barbarie n’est pas que cela, bien au contraire. Il est aussi un roman qui recèle des qualités bien plus profondes qu’il n’y paraît de prime abord.

En premier lieu les deux auteures s’intéressent aux problèmes inhérents à l’adolescence d’aujourd’hui comme, par exemples, les rapports conflictuels avec l’autorité parentale ou les difficultés propres aux familles monoparentales. Ces sujets sont certes évoqués rapidement, mais ils le sont de manière si subtile que les lecteurs adolescents ne devraient pas avoir de mal à s’identifier à Théodora.

En second lieu l’existence d’un univers parallèle est le moyen d’évoquer la culture celte, tant dans son aspect historique que dans son aspect mythologique. Brigitte AUBERT et Gisèle CAVALI dissertent alors de manière tout à fait poétique pour montrer que les mythes et légendes originels ont façonné notre inconscient collectif et que s’en souvenir c’est comprendre le monde et tous les êtres qui le peuplent. A ce niveau, il ne serait d’ailleurs pas étonnant qu’une telle lecture ne soit pas aussi riche d’enseignements pour bien des lecteurs adultes.

Il y a donc deux niveaux de lecture dans Le règne de la barbarie, premier tome de la pentalogie Les Cavaliers des Lumières. Et l’on se surprend à oublier bien vite le premier, le plus facile et le plus prévisible, pour se laisser transporter par le second, bien plus riche et inattendu.