Sebastiano trouvait une sorte de malhonnêteté à de semblables négoces. Au lieu de raser les bois de la Sardaigne, il eût été heureux de les multiplier ou, au moins, de les repeupler. Il aurait désiré employer les gens qui écorcaient les chênes, les charbonniers et les charretiers à défricher et à cultiver les terrains improductifs, faisant ensemencer les vallées couvertes de pruniers et de pervenches, et conduire des troupeaux dans les pâturages abandonnés.