Je ne sais si c'est le somnifère, l'alcool ou l'épuisement généré par la lutte menée à la prison de Brody Royal, mais je tiens à peine debout pendant le temps du rituel des dents. Et quand j'atteins enfinle lit de la chambre d'ami, je ne suis même pas capable de soulever l'édredon. Je me contente de m'allonger à la plat ventre, mon esprit fluctuant entre le vide total et les images cauchemardesques de l'enfer enfumé du sous sol du royal.