« Une clarté sulfureuse coiffait les collines, embrasant le ciel d’été, il n’y avait désormais plus aucune brise. Une chaleur lourde, visqueuse, nous accablait.
La rivière brésillait de mille feux autour de nous, comme des milliards d’oiseaux aux ailes pailletées d’or, et on retrouvait brutalement ces jours d’été où la fièvre s’empare de la nature » .