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Critiques de Grégoire Gauchet (15)
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Les robinsons de l'autoroute

Quand un départ en week-end se transforme en véritable aventure des temps modernes !

Le 14 juillet c'est l'occasion de prendre la direction du sud pour Claudine et Claude dans leur camping-car plutôt bien équipé, Vanessa et Marc dans leur superbe Porsche, Eliane, Jean-Jacques et leurs enfants dans leur véhicule familial, et enfin Sophie et sa fille dans leur petite Twingo.

La tête pleine de projets, chacun est impatient de rejoindre son lieu de détente. Malheureusement, c'est le drame : un terrible accident se produit et la circulation est bloquée.

Totalement immobilisés sur l'autoroute, les quatre familles, que tout semble opposer, vont devoir improviser pour subsister.

Dans ces circonstances exceptionnelles, les réactions sont exacerbées, les langues vont rapidement se délier, les confessions se multiplier, les barrières sociales se fissurer et les différences s'estomper.

J'ai beaucoup aimé ce roman, les personnages qui paraissent un peu caricaturaux en début de lecture dévoilent progressivement leur profondeur et leur humanité. Une belle histoire sur l'entraide et la richesse des rencontres qui bouscule les stéréotypes.

Un grand merci à Babélio et aux éditions Le Verger pour ce partage. Envoi d'autant plus apprécié qu'il était accompagné d'une jolie carte avec un mot de félicitations du directeur éditorial.
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L'avalanche

Billet rédigé dans le cadre de Masse Critique. Merci aux Editions « Le Verger » et à Babelio.



Paru dans la collection « Les enquêtes rhénanes » « L’avalanche » est un polar dont l’action se situe dans les Vosges.

Le corps d’un homme est retrouvé après avoir été emporté par une avalanche. C’est un skieur expérimenté et prudent, et sa mort suscite des interrogations chez son vieil ami, amoureux des cimes et de son chat. Celui-ci va se mettre à enquêter auprès de l’entourage du défunt, en particulier de sa veuve, pour résoudre le mystère.

Voilà, en quelques mots simples, l’objet du roman de Grégoire Gauchet.

Si vous êtes un lecteur aguerri de polars, passez votre chemin : l’intrigue est on ne peut plus classique, pour ne pas dire simpliste. Moi qui ne suis qu’une lectrice occasionnelle de romans policiers, j’ai résolu l’enquête au bout de trente pages environ. Il faut bien le dire, le scénario a dû être utilisé une centaine de fois dans la littérature, le cinéma ou les téléfilms.

Lorsque ce cas de figure survient, que vous ne pouvez plus espérer être tenu en haleine par l’intrigue, il ne vous reste que la solution de vous raccrocher au style pour avoir envie d’aller jusqu’au bout sans sauter des pages. Ce roman n’en comptant à peine plus de cent, et par respect pour le challenge de Masse Critique, j’ai lu l’ouvrage dans sa totalité. Malheureusement, le style n’a la plupart du temps aucun relief, si je peux me permettre d’utiliser cette image pour évoquer une intrigue montagnarde.

Les chapitres s’enchainent avec mollesse, n’offrant que peu d’intérêt. La faiblesse principale tient dans la psychologie des personnages, pour le moins sommaire. Chacun possède une ou deux caractéristiques qui seront exploitées tout au long du récit. Pas de place pour le gris, chacun est blanc ou noir, gentil ou méchant. Ils parlent une langue attendue, proprette, académique, même lorsqu’ils sont en colère. Tout repose sur ce qui est censé être un méga coup de théâtre final, mais le hic est qu’on le devine très vite.

Le style est bourré de formules qui frisent le cliché. Exemple, dans la bouche du héros misogyne :

« Les femmes sont toutes les mêmes, des créatures du diable », ou « des créatures faibles », axiome qui va être exprimé à foison tout au long du récit. Le regard se « plante » dans les yeux de l’autre, une fille a l’air « incroyablement frêle » ou « incroyablement romantique », les lieux communs se succèdent avec une langueur monotone. Aucun personnage n’est franchement sympathique ou antipathique, ou, ce qui aurait été davantage intéressant, complexe, étrange, dérangeant. On ne peut pas dire que c’est mal écrit, ou bâclé, mais cela m’a semblé très convenu.

Pourtant, et heureusement, certaines sont pages sont très réussies. Lorsque l’auteur décrit le décor qu’à l’évidence il aime passionnément, à savoir les paysages de montagne, les variations de couleurs de la neige, du ciel, nous raconte les arbres, les animaux, le bonheur que l’on peut éprouver à se promener seul dans une nature fascinante parce que belle et dangereuse, il trouve enfin un style convaincant qui emporte notre adhésion. Il sait choisir des mots percutants lorsque l’avalanche se déclenche, nous fait entendre les craquements, les déchirures, nous effraie par la violence qui s’exprime avec fracas. Enfin sa petite musique personnelle se met à résonner, sans clichés ou formules usées. Le vocabulaire est précis, technique, éloquent.

Le livre aurait été tout autre s’il avait pu trouver la même maîtrise dans le déroulement de l’intrigue policière. Ici, c’est presque comme si nous nous trouvions en présence de deux œuvres distinctes : une banale énigme policière peu palpitante et l’expression d’une passion pour une région captivante.

Je pense donc que Grégoire Gauchet possède un certain talent mais devrait se montrer plus rigoureux dans l’élaboration de ses intrigues policières. Ayant fait un tour sur son site web, j’ai noté qu’il avait déjà publié quatre polars et un livre sur le ski en montagne. N’ayant pas lu d’autres polars de sa plume, je ne les commenterai pas, mais nul doute que le second vaut le détour pour les amoureux de ce sport.


Lien : http://parures-de-petitebijo..
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La mort est un jeu de hasard

Dans la série des romans policiers régionaux, cette pioche n’est pas mauvaise.

L’histoire tient étonnamment bien la route, bien que l’auteur ne nous donne les clefs de l’énigme dès les premières pages. L’intérêt réside dans l’évolution parallèle des deux personnages principaux et les rebondissements à tiroirs de la fin du roman.

Comme souvent dans cette littérature de genre, la lecture est toujours plus amusante ou captivante s’il on est familier des lieux, car le style sans être déshonorable demeure passe partout.

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La mort est un jeu de hasard

Bon roman policier : le scénario est excellent, on y entre, et on le ne lâche plus. Et pour ceux qui connaissent le lieu de l'intrigue, Mulhouse, on réalise le soin avec lequel ce livre fut écrit. Cela sent le vécu.

Aucun personnage n'est vraiment antipathique ou sympathique, mais chacun est intéressant.

Un point faible : même si dans la vie comme la mort est un jeu de hasard, il se trouve dans ce livre quelques invraisemblances qui ne sont pas dues au hasard, mais arrangent bien l'auteur pour écrire la fin !

Ceci étant, lisez-le je vous le recommande.
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Meurtres bio au Château

Je voudrais tout d'abord m'adresser à monsieur Gauchet. Oui vous, monsieur l'auteur!! POur vous parler de l'évènement de la page 111... Vous voyez de quoi je veux parler? Je suis certaine que oui. Alors ça, ce n'est pas du jeu. Je me suis faite avoir, moi un vieux briscar qui n'est plus surprise depuis longtemps !! Primo c'est contraire à toutes les règles de faire ça à un tel personnage à cette étape du roman. Deuxio vous nous remettez ça p.142!! Soufflée



Vous l'aurez compris j'ai pris un plaisir incroyable à lire ce roman : c'est fantaisiste, juste ce qu'il faut de délirant et merveilleusement bien mené.



C'est notre cher village de Bretons résistant aux envahisseurs de Bois et Loisirs, c'est un Don Camillo écolo; c'est une peinture plein d'humour de notre société, c'est tout ce qu'on a de plus franchouillard. En mieux, en drôle,... C'est pétillant, plein d'inventions, de rebondissements.



ça fait du BIEN du lire un tel roman!! Et je ne dis pas ça pour faire plaisir.





Un grand merci à Babélio et aux éditions "le Verger éditeur".
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Les robinsons de l'autoroute

Les robions de l’autoroute c’est d’abord une fable contemporaine,la rencontre improbable de plusieurs mondes complètement différents. 4 familles vont devoir faire contre mauvaise fortune bon coeur et vivre ensemble quelques heures inattendues sur l’autoroute.

La lecture est plutôt agréable mais il y a des petits détails qui m’ont chiffonné, parfois juste un impression de « trop facile » ou « peu probable » et pourtant, à certains moments l’écriture était tellement vraie et sincère. Du coup, un avis plutôt sur la réserve pour cette découverte « masse critique ».
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Les robinsons de l'autoroute

Je remercie Babelio et les éditions Le verger éditeur qui m'ont permis de découvrir ce livre dans le cadre de l'opération Masse Critique.

Dans cette histoire qui se déroule en moins de 24h, on suit les aventures de 4 familles bloquées sur l'autoroute suite à un accident très grave arrivé plusieurs kilomètres devant eux. Ils ne sont guère concernés par le drame, seulement par ses conséquences qui les emprisonnent au milieu de nulle part un jour de grosse canicule.

Nous suivons donc un couple de retraités en camping-car, une famille effacée avec leur deux ados, un couple de bobos trentenaires carriéristes et une mère seule et sa fille ado. Tout ce petit monde va s'organiser pour s'abriter, manger, boire surtout et se réapprovisionner en attendant des secours qui tardent à intervenir, trop occupés par l'évacuation des blessés et des morts de l'accident.

Des amitiés vont se nouer, des rapprochements se faire, des drames ordinaires et moches se joueront aussi.

Les sentiments et réactions de naufragés de l'autoroute, se sentant abandonnés des autorités, sont bien transcrits et on ne peut s'empêcher de s'interroger sur ce qu'on ferait en pareille circonstance. J'ai également trouvé la rigidité des autorités très réaliste aussi : suivre les consignes, qu'importe les situations. Juste une petite incohérence qui m'a fait tiquer : la visite du président de la république au Portugal un 14 juillet, guère crédible alors qu'il est toujours présent au défilé de la fête nationale. Mais c'est un détail.

Ce fut une lecture rapide et distrayante, moins marrante que je l'avais escomptée, mais crédible. Un style agréable aux mots recherchés. Une situation de départ bien pensée qui pousse aussi à s'interroger sur les réactions qu'on aurait en pareille situation.
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L'avalanche

J'ai reçu "L'avalanche" grâce à l'opération Masse Critique organisé par Babelio. Je remercie donc le site et les éditions Le Verger Éditeur de m'avoir envoyé ce livre !



L'histoire se déroule dans les montagnes (dans les Vosges précisément). Notre personnage principal est Roger, un skieur confirmé qui a perdu Martin "son ancien compagnon de ski". Seulement sa mort perturbe Roger et comme le dit si bien le résumé, il va découvrir pas mal de surprises.



Roger est un personnage intéressant mais un peu trop cru et un peu trop intelligent à mon goût. Je trouve qu'il découvrait un peu trop facilement les réponses à ses problèmes et la solution de l'enquête. L'intrigue en souffre et on ne nous laisse pas vraiment le temps de réfléchir. C'était tous simplement irréaliste et inconcevable parfois.



Ensuite j'ai eu également un petit problème avec le vocabulaire. Dès la première page on nous balance un tas de mots sur l'univers montagnard. Il manquait quelques petites notes en bas de page. Par contre la description des paysages étaient superbe ! Les sensations de la neige, le froid, les gestes étaient retranscrits à la perfection !



La fin m'a complètement surprise, je n'ai rien vu arrivé (je suis peut-être une débutante en matière de policier mais la fin m'a vraiment laissé bouche-bée) mais la "solution final" est très bien trouvée.

J'ai par contre encore quelque chose à redire : l'auteur ne nous laisse pas vraiment de fin et j'aurais préféré une fin digne de ce nom.

Conclusion : Un policier un peu court et simple mais plutôt divertissant.



Note : 2,75/5

Couverture : ♥♥/5 (On a représenté Martin dessus mais je pense qu'un skieur confirmé même en panique ne laisserait pas des traces de ce type dans la neige et ça m'a plutôt perturbé, mdr).
Lien : http://juliefrisettedu59.sky..
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Meurtres bio au Château

La première chose qui choque à l'introduction de cet ouvrage est l'avalanche de termes anguleux, industriels et d'expressions alsaciennes, au mieux obscures pour le breton que je suis.

Quelques passages sont heurtés par des répliques trop courtes et inutiles ( totalement en phases avec le fond des débats il faut avouer ;) ) d'autres sont bien plus fluides et finissent par avoir le dessus. En fait le style est surtout (et surtout au début) instable, le narrateur se laissant emporter par l'action, quand il est ordinairement le lien, l'élément inflexible, aussi posé dans le calme que dans la castagne.



Et de la castagne, il y en a, et de la belle. Des empoignades ! Des cris ! En fait, c'est la première bagarre, au ruisseau qui m'a fait entrer dans l'histoire, puisque décidément, la seule évocation de la politique me fait vomir ( désolé Mr Gauchet, ce n'est pas contre vous, la prochaine fois, c'est moi qui serais plus circonspect :) ).



Car c'est là que se situait mon erreur : dans la classification que j'imaginais, c'était Meurtre>bio>chateau. Malheureusement, c'est plutôt écolo>chateau>meurtre : un fin glacage de policier sur une chronique de l'écologie politique dans un monde encore scarifié par l'orthodoxie qu'est l'alsace (dit comme ça, ça rends pas pareil en fait ^^).



Autre point important : l'alsacienne. La typique. Celle sans une seule ligne droite et les deux Dico Grand Robert devant (dédicace au prof de neuro et à "Brigitte", l'assistante des ponctions lombaires). Elle existe en modèle unique, seule la couleur dessus change. Un problème de fixation ? Peut-être. ^^





Pour la note, j'ai l'habitude de noter rude, et puis il faut dire que ce n'est ni fantasy ni SF, donc je vais être honnete, c'était noté sur 4 ;)



Ps : un petit mot à Mr Gauchet : Alvéole c'est comme cellule, toujours au féminin, toujours un petit espace renfermé ^^



En résumé : n'y allez pas pour voir de l'écologie, encore moins du bio (le plus approchant, c'est de la vigne et une jardinière), mais si vous voulez des gros nénés, de la bagarre de poivrots, de la gendarmerie toujours plus incapable, un livre que vous pourrez lire sans trouver un environnement spécialement calme n'hésitez plus, vous allez vous fendre la poire.
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La mort est un jeu de hasard

Ça démarre bien, un bon petit polar vif plutôt psychologique, pas de sang, pas de coup de feu. On connaît l’assassin dès la première page, tout va donc se jouer avec l’équipe de policiers bien décrits, avec chacun leurs problèmes

Et peu à peu ça bascule dans le non crédible pour ne pas dire le n’importe quoi. En voulant rajouter de l’intrigue à l’intrigue, l’histoire ne se tient plus.

La fin est bâclée si tant est qu’il y ait une fin. A oublier.
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Les robinsons de l'autoroute

Pas la meilleure robinsonnade que j'ai pu lire mais la lecture en est facile et rapide. A cette époque de grands déplacements sur les autoroutes, c'est d'actualité.
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L'avalanche

Roger vient de perdre son ami martin , mort dans une avalanche , c'était pourtant un skieur confirmé et prudent .

Mais Roger pense que quelque chose cloche ...Elsa la veuve est entourée de Christophe d'un peu trop près , au gout de Roger , c'est il est vrai une femme qui attire les regards ...

Et puis cette histoire d'assurance vie souscrite avec la femme de Christophe , intrigue un peu Roger ...

Celui- ci va mener son enquête et surveiller Elsa ... il est aussi un peu jaloux ....



******************

Même si ce n'est pas le polar de l'année , l'intrigue est un peu bateau et évidente , l'auteur connait bien le milieu du ski et de la montagne , voir de la région ..Du coup ce roman assez court n'est pas désagréable à lire avec beaucoup de description des montagnes enneigées et du ski .

Pas mauvais quand même , mais pas indispensable non plus ...

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La mort est un jeu de hasard

C’est le 3ème livre de Grégoire Gauchet que je lis, après « Meurtre bio au château » et « L’avalanche » et il s’agit de loin du plus réussi.

C’est encore un polar mais là, on connait l’assassin dès le début du récit (… à la Colombo).

L’auteur, toujours un brin misogyne, arrive à captiver le lecteur avec des personnages pourtant pas franchement sympathiques évoluant dans un univers plutôt sombre.

Sans prétention, le livre se lit bien, et le fait de connaitre la région représente clairement un bonus.

Je recommande même si la fin est un peu « capilotracté » … pour reprendre la formule d’un(e) protagoniste du roman.

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L'avalanche

Skier seul sur les crêtes vosgiennes en pleine tempête est bien imprudent. Martin en fera les frais. Abattu par la mort de son ami, le narrateur part à la recherche de sa dépouille et découvre bien d’autres mystères qui l’entraineront dans des pentes bien dangereuses.

Publié dans la collection « les enquêtes rhénanes », ce polar cousu de fils blancs, d’un style faiblard, ne m’a amusé que par son décor local qui m’est familier.

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L'avalanche

Je remercie Masse Critique et la maison d’édition Le Verger pour l’envoi de ce roman.



Le corps de Martin, 37 ans, skieur chevronné, est retrouvé enseveli sous une avalanche : il a dû s’égarer dans le brouillard pour s’être retrouvé dans un endroit rendu aussi dangereux par de mauvaises conditions climatiques. C’est l’opinion de Roger, le narrateur, 46 ans, qui a beaucoup skié avec lui avant que Martin ne fasse équipe avec Christophe, plus jeune et plus proche de sa pratique de la glisse.



Un élément va très vite déplaire à Roger : chaque fois qu’il se présente pour réconforter la jeune veuve, Elsa, il est devancé par Christophe et trouve que leur relation, malgré le statut d’homme marié du jeune homme, est fort intime. Le doute s’insinue très vite dans son esprit : suicide ou meurtre ?



Roger va alors mener son enquête …



J’ai apprécié la façon dont l’auteur parle de la neige, de la montagne : on ressent tout l’amour qu’il porte aux paysages enneigés et à la pratique du ski.

Par contre, j’ai trouvé que l’histoire manquait de substance et d’un petit quelque chose pour accrocher le lecteur. De plus, le narrateur m’a très vite été antipathique par ses réflexions et ses agissements : ce côté déplaisant est-il voulu par l’auteur ? Je me suis posé la question …





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