( **après la mort de la mère)
Un chagrin pesant s'était abattu sur lui à l'automne précédent, il ne gardait aucun souvenir des semaines qui avaient suivi l'enterrement, absent à lui-même, dans l'attente d'un renouveau, sa solitude avait quelque chose d'absolu (...)
Le chagrin était nécessairement un chemin solitaire, quel que fût le frère que la vie vous avait donné .
( p.19)