L'après-midi, on s'en allait avec l'âne au-delà des roches noires (...). Le sentier, d'abord, montait entre des terrains vallonnés (...). À la lisière du chemin, dans le fouillis des ronces, des houx se dressaient ; çà et là, un grand arbre mort faisait sur l'air bleu des zigzags avec ses branches.
Presque toujours on se reposait dans un pré (...). Des moineaux cachés pépiaient, et la voûte immense du ciel recouvrait tout cela.