Il aimait le luxe, et la forme la plus coûteuse du luxe : le luxe artistique. La canne de M. de Balzac était une célébrité européenne. Il ne pouvait se tenir d'acheter de belle argenterie, des bijoux, de vieux meubles, des tapisseries, des tableaux de maîtres anciens. Il raffolait de tous ces « bric-à-brac », comme il disait : son « tête-à-tête de vieux sèvres «, son a beau service de porcelaine de Chine », si authentiquement ancien qu'on ne trouverait plus le pareil à Nankin ni à Canton.