Sur ce point, mes collègues et moi-même étions d’accord, exception faite d’Éléonore, bien entendu. Les retraités, et surtout les retraités de l’Éducation Nationale, c’était la barbe. Toujours à demander des explications, à tenter de transgresser les règles, à poser des questions tordues, à faire semblant de ne pas savoir se servir des outils informatiques.
Entendu. Sinon, à partir de maintenant, j’aimerais que vous bannissiez de votre bouche les termes anglophones à la faveur de notre bonne vieille langue française. Pour information, j’emploie le terme « courriel ». Par avance, merci !»
C’était avec moi-même que j’aurais dû me marier. Je devais être réaliste pour autant, il fallait quelqu’un à mes côtés pour réaliser ce que je considérais comme les basses tâches de la vie quotidienne.
En tant que professeur(e)s d’universités, nous savions tous et toutes que l’obtention seule d’un doctorat n’avait plus aucune valeur sur le marché du travail.