- Vous ne me posez plus de questions ? C'est bien sage de votre part.
- Si vous le dites. De toute façon... Vous ne me répondrez pas.
- C'est vrai !
Sherlock : Ce sont parfois les histoires les plus simples... Qui cachent les plus grands mystères.
- L'éminence grise qui tire les ficelles de tout cela... est une personne proche du diable elle-même.
Du diable ?
- Voyons... vous exagérez.
- Je le voudrai bien !
1881. Me voici de retour à Londres en quête d’un logis. Et c’est dans le coin d’un sombre laboratoire…
- Bonjour, je suis ici sur la recommandation de M. Stamford.
- M. Holmes ? Il paraît que vous recherchez quelqu’un avec qui partager votre appartement ?
- Quelle odeur…
- Je suis bien Holmes. Patientez un instant, je vous prie.
- Vous arrivez… à point nommé !
… Que moi, John Watson, ai rencontré Sherlock Holmes.
Docteur Waston :
Comment savez-vous que je reviens d'Afghanistan ?
Sherlock Holmes :
C'est très simple. Notre ami commun M. Stamford, est médecin. Ce qui signifie que vous devez être un de ses camarades et donc docteur vous même. Vous tenez votre teint hâlé d'un soleil chaud.
Votre bras gauche vous gêne … Sûrement le résultat d'une blessure. A n'en point douter, vous êtes un soldat rapatrié à cause de celle-ci. Récapitulons : un médecin militaire blessé au combat sous un soleil de plomb...
Docteur Waston :
Incroyable...
Sherlock Holmes :
… ne peut venir que d'Afganistan.
Docteur Waston :
Vous êtes tel qu'on me l'avait décrit !
Le grand détective Holmes a bien un point faible. Ce sont... Les femmes ! Selon lui... Même si certaines sont très intelligentes... On ne peut se fier à elles !!
[Watson] - Nous voilà enfin en paix.
[Holmes] - La paix ? Ça promet de longues journées d'ennui...
Il ne se salit jamais les main en personne... il utilise ses pions pour réaliser ses plans machiavéliques. c'est pourquoi il est difficile de le faire arrêter. Tapi dans l'ombre, mais toujours présent, il tire les ficelles et reste insaisissable.