Ce qui est entrain de se passer n'est pas ta faute, dit-il. Ni la mienne. Ni la faute d'une prédiction ou d'une malédiction. Ni de l'ADN, ni de l'absurdité du monde,ni du structuralisme, ni de la troisième révolution industrielle. Si nous mourons et disparaissons c'est parce que le monde repose sur un mécanisme d'anéantissement et de perte. Nos existences ne sont rien d'autre que les ombres projetées par ce principe. Le vent souffle.