Du bout des doigts, Harold caresse le dos de ma main, l'intérieur de mon poignet puis de mon avant-bras.Un effleurement léger, mais qui suffit à mettre le feu à mes désirs, déjà trop attisés pas l'attente.
Tout en émergeant du sommeil, je prends conscience de ma nudité et les souvenirs de la nuit que nous venons de passer me reviennent en mémoire. Je ne me serais jamais crue capable de çà. C'était si bon. Nous avons fait l'amour tant de fois.
Tout en émergeant du sommeil, je prends conscience de ma nudité et les souvenirs de la nuit que nous venons de passer me reviennent en mémoire. Je ne me serais jamais crue capable de çà. C'était si bon. Nous avons fait l'amour tant de fois.
- Sarah, tu vas me faire complètement perdre la tête.Caresse-moi, j'ai tellement envie de sentir tes mains douces sur tout mon corps.
- Seulement si tu finis de te déshabiller, dis-je, espiègle.
Solveig s'apprête à vivre un nouveau départ, direction les Bahamas, l'île de Cat Island, où son excentrique tante possède des chambres d'hôtes. Soleil, plage de sable fin et palmiers, c est dans ce cadre paradisiaque que Solveig rencontre le multimilliardaire William Burton, et le coup de foudre est immédiat ! Un univers
merveilleux s'offre alors à la jeune Parisienne. Seule ombre au tableau, le mystérieux jeune homme cache une faille, une blessure indéchiffrable...
La relation entre Solveig, la jeune femme indépendante, et William, le magnifique et mystérieux milliardaire, risque de faire des étincelles !
- À quoi bon avoir tout ce que je possède si mon soleil s'envole à l'autre bout du monde ?Jamais je ne laisserai quiconque t'enlever à moi, Solveig.Nous allons parler à ta tante.Ne te fais plus de souci.
– Vous vous êtes beaucoup amusée, ce soir.
La raideur dans sa voix m’indique que, même s’il tente de se maîtriser, quelque chose l’agace prodigieusement. J’essaie donc de ne pas alimenter sa mauvaise humeur en répondant vaguement :
– Oui, c’était très réussi.
– Et ce Luke ? dit-il, inquisiteur.
– Oui ?
– Il vous plaît ?
Pardon ? Qu’est-ce que c’est que cet interrogatoire ?
– Comment ça, « Il me plaît » ?
– Vous, en tout cas, vous lui plaisez, martèle-t-il d’un ton qui ne souffre aucune réplique.
Mais je ne peux m’empêcher de me défendre vivement.
– Mais non ! Pas du tout ! Il veut seulement être aimable, m’aider à m’installer ici, me faire des amis.
– Solveig, vous ne vous rendez compte de rien. Quel homme ne voudrait pas davantage quand il est près de vous ? me dit-il doucement.
En disant cela, il prend mon visage dans mes mains, me forçant à le regarder dans les yeux. Mon sang, d’un coup, se fige dans mes veines. Que cet homme est beau et attirant. Tout, dans ma tête, semble soudain s’effacer
– Je crois que tu n’as pas idée de l’état dans lequel me précipitent ces quelques grammes de tissu, annonce-t-il après quelques secondes. Mais je refuse que tous les hommes de la soirée éprouvent la même chose en te regardant ce soir, annonce William, les yeux plus que brillants. Évidemment, nous la prenons également, ajoute-t-il d’un air entendu.
Je t'aime, ajouté-je enfin en mettant dans ces quelques mots tout l'amour infini,total que j'éprouve pour lui.Comme s'il s'agissait d'un talisman de protection.
- Oh Solveig, moi aussi je t'aime, répond-il avec passion en m'embrassant fougueusement,d'un baiser qui me laisse les jambes en coton,
- Laisse-moi te faire l'amour, mon merveilleux Apollon, murmuré-je, soudain entreprenante.