Toutes les femmes de son entourage ne sont que des ventres. Les unes se dépêchent de se faire engrosser, les autres pouponnent avec extase, d’autres encore ne rêvent que d’être aimées et fécondées à leur tour. Quelle est donc cette idée fixe qui les rend si impatientes d’être pénétrées et de donner le jour à un morceau vivant et vagissant d’elles-mêmes ? N’y a-t-il que Nadejda au monde pour situer les passions de l’âme au-dessus de l’instinct animal ?