18 juillet 2004
"Le poème n'a pas cessé de se transformer, de me trouver, de m'abandonner. J'étais dans un état de grande concentration et tout pourtant semblait glisser à travers moi. Je notais ce que je pouvais, ce qu'il semblait possible de transformer en mots. Dans son état actuel, le poème semble prêt de prendre forme, il peut ainsi demeurer un brouillon inachevé. Je ne sais, j'espère."