Un matin on vit partir Wahanga, sa pétoire en travers des épaules avec sa lourde hache passée dans une corde enroulée autour du corps en guise de ceinture.
Sans se presser, de sa marche oscillante, il s'enfonça dans la forêt, et bientôt on l'entendit chanter comme à son habitude, puis sa voix se perdit au loin.
Où allait-il ? Nul ne le savait, car il ne parlait guère....