Un homme qui saurait qu’il n’est pas de souffrance d’amour qu’un vraiment bon repas ne dissipe, au moins pour quelques heures, un homme qui saurait que le courage physique et moral, que l’inspiration poétique, que le dévouement, que le sacrifice peuvent dépendre d’un bon repas, -que le sublime de l’âme peut être dû à la chair pourrie d’animaux morts, un homme qui saurait cela, il ne faudrait plus essayer de la lui faire.