Le moindre brin d’herbe avait sa chanson ; les moineaux qui pépiaient dans le griottier, près de la cabane, avaient une mélodie particulière. Le soir, il écoutait les mille bruits de la campagne, dans le sommeil de la terre.
Si on l’envoyait dans les champs épancher le fumier, le vent lui-même s’amusait à siffler et à gronder dans les fourches. (p. 3).