Dans un premier temps, la vague de terrorisme juif désarçonne les services de sécurité israéliens. Entièrement mobilisés contre la lutte clandestine des Palestiniens, ils sont d'autant plus dépourvus de moyens qu'il n'existe pas de police politique du type Renseignement généraux français.
Dans les années 50, Ben Gourion a prohibé purement et simplement toute surveillance ds activités politiques, à l'exception notable de celles du parti communiste Rakakh, composé surtout d'Arabes israéliens.