Heller ne connaissait pas une note de Schumann ; il le prenait même pour un écrivain purement théorique et esthétique. Il entretint avec lui une correspondance qui ne cessa que peu d'années avant la maladie qui devait emporter le grand compositeur. Schumann se montra, pour le jeune Heller, plein de bienveillance; il lui prodigua les encouragements.