A l'âge de trente-quatre ans, j'avais été entraîné sans pouvoir résister par les débordements incoercibles de cette force sombre dont l'odeur de sang me frappait les narines. Pourtant, cette chose n'était pas une émotion emphatique comme l'amour ou la haine, mais simplement ce qu'il faut bien appeler de l'ennui.