On ne répare jamais une série de mesures calamiteuses par un retour en arrière, on prône et pratique la fuite en avant. Si le remède ne guérit pas le malade, ce n’est surtout pas le remède qu’il faut mettre en cause : augmentons les doses, et le malade finira bien par se soumettre à la volonté impérieuse qu’on a de le guérir, même si le principe actif du médicament joue évidemment à contresens du génie de la maladie !