En poésie, on veut accéder dans les mots à un être au monde aussi fondamental – aussi simple – que possible, mais on se laisse emprisonner dans des rêveries qui sont des distorsions de la langue prenant alors figure, justement, de réalité plus satisfaisante, qu’on va donc juger supérieure. Et le latin de se prêter à cette sorte de rêve.