Ils ne reconnaissent pas tout à fait le chemin pris à l'aller. La forêt semble s'être un peu resserrée. Les sapins rapprochés forcent à des crochets, des évitements. Les branches les plus basses les obligent parfois à se glisser de profil. [...] Ils ne traversent pas la forêt, c'est elle qui les laisse passer.