Lui qui lit si peu. Des ouvrages techniques principalement, des dictionnaires. Des romans, jamais. [...]
Il se souvient de la légère oppression qu'il a déjà ressentie en pénétrant dans une bibliothèque, entouré de murs de livres, de milliers d'ouvrages étiquetés, cette impression qu'il faudrait choisir radicalement de les lire tous ou de n'en lire aucun.
(p. 89-90)