– [...] Comprenez qu’à la guerre, décider de la vie ou de la mort d’une âme ne dépend pas de ses traits de caractère, ses choix, ou de sa compassion…
— … Mais de son camp, de son faciès, de ce qu’elle a à offrir ou de son niveau de danger. William Bright, Mémoires de Dustya.
La meilleure arme n’a pas de tranchant, pas de goût, pas d’odeur. Pourtant, elle pue. Est amère. Et fauche. Chacun l’a en soi. Combien savent la dominer ?