Une patte sous sa tête en guise d’oreiller, il laissait l’autre pendre avec désinvolture par-dessus le bord de l’étagère, barbotant dans la chaleur qui s’élevait doucement dans la pièce. A présent que ces idiots d’humains s’en allaient, un chat pouvait enfin s’offrir un sérieux petit roupillon.