Il était là, debout à la fenêtre, à regarder Fira, dont la vie s’en allait de cette maison objet après objet, chiffon après chiffon, photo après photo, et s’entassait précipitamment dans un énorme camion éclaboussé de boue, pour disparaitre à jamais, pour toujours, pour les siècles des siècles, et tenter de se greffer quelque part, là-bas, au loin, sur une existence nouvelle qui lui serait probablement étrangère. (p8)