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Citation de Ziliz


Toujours las, fatigué, préoccupé, ennuyé, il avait, cependant, pour elle, de la tendresse et de l'attrait phyique, elle le sentait. Mais tout le temps, elle avait l'impression que c'était elle seule qui se cramponnait, de toutes ses forces, à leur amour ; si elle le quittait, elle savait qu'il ne ferait pas un geste pour la retenir, par paresse, par découragement inné et, de cela, elle éprouvait comme une immense fatigue morale, comme si elle eût porté en tremblant, entre ses mains faibles, un précieux fardeau trop lourd. (p.94).
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