J’ai aimé le marbre, oui, et aussi la peinture. L’architecture et la poésie. J’ai aimé ma famille et mes amis. J’ai aimé Dieu, les formes de la terre et du ciel, et aussi les gens. J’ai aimé la vie totalement et maintenant j’aime la mort comme son achèvement naturel. Il Magnifico - Laurent le Magnifique - serait heureux : pour moi, les forces de destruction n’ont jamais triomphé de la puissance créatrice.